Retour sur le Micro Festival #1

Samedi 22 mai, le Micro Festival #1 affichait complet avec une jauge très réduite de 98 personnes.

Nous, les Dindes, ça nous a fait vraiment du bien d’organiser en dernière minute une scène, créer des toilettes dans la paille, improviser une buvette, accueillir les artistes et retrouver du public… Merci à tous pour ce moment culturel et convivial.

Prochain rendez-vous le 19 juin. On vous tiens au courant.

Quelques images :

Photos : Serge Sang

Au programme :

Viens choisir tes parents

15h00Compagnie Les Semelles de vent – Lyon
Pour tous à partir de 6 ans, en famille – 45 minutes

Tu aurais préféré avoir pour parents ceux de ton (ta) meilleur(e) ami(e), ton enseignant(e), ou même la boulangère si gentille ? Et bien aujourd’hui, en exclusivité mondiale, tu vas pouvoir choisir tes parents !
Ils vont se présenter devant toi dans l’espoir d’être sélectionnés.
A la fin, tu pourras voter et dessiner tes préférés.

Inspiré d’un album de Claude Ponti, ce spectacle s’adresse aux enfants et aux parents.
Deux comédiens jouent seize couples de parents qui vont se succéder pendant 45 minutes à un rythme effréné et burlesque.

La mare où l’on se mire

16h15Compagnie chiendent théâtre – Alpes de Haute Provence
Pour tous – 35 mn

La mare où [l’] on se mire – théâtre d’objets. Opéra (très) fantaisie pour 25 canards répétiteurs. Une adaptation résolument foutraque du conte d’Andersen Le vilain petit canard. Norbert fait un tour de France pour présenter la maquette de l’opéra qu’il est en train d’écrire, en partageant les temps forts de son livret. Entre joyeux désordre et léger trouble…

Hidden people

17h30Lyon

Hidden people, ce sont des chansons, douces ou grinçantes, légères ou urgentes, certains disent abrasives. Avec tout ce que l’on peut mettre dedans : des textes, des sons, des timbres, des drôleries, des sursauts, des suspens. Il y a celles qui traînent au fond des gorges depuis trop longtemps, celles qui frappent aux portes avec insistance, celles attrapées joyeusement au détour d’un sentier.

Avec un violoncelle, une batterie préparée, et deux voix, acoustique et électronique se mélangent dans des espaces oniriques dans lesquels nous ne sommes sûrs de rien, ni du lieu, ni de la temporalité. Chaque chanson est une porte que l’on pousse avec curiosité.